Depuis plus de 50 ans, PRH contribue à l’humanisation et à l’avancée de la société en aidant les personnes à apprendre à conduire leur vie. Un million de personne, réparties sur les cinq continents ont suivis nos formations. Ce faisant, elles améliorent la qualité de leurs relations et la manière d’en prendre soin et contribuent à la construction d’environnements sociaux positifs et efficaces.

Nous transmettons une vision positive de la personne. La foi dans ses capacités et le respect de sa liberté sont des valeurs centrales. Nous utilisons une méthode d’analyse de l’expérience personnelle avec des moyens complémentaires qui accélèrent la croissance des personnes, des couples et des groupes. Nous proposons des programmes de durée variable en ce sens.

La formation proposée aide à :

  • dégager ses richesses personnelles et développer sa solidité,
  • vivre en fidélité à soi-même,
  • libérer sa capacité d’aimer et de se laisser aimer.

C’est pourquoi, PRH est une école de formation basée sur une recherche psychologique et pédagogique permanente portant sur la croissance de la personne.

La réalisation de cette mission est l’aspiration profonde de tous les formateurs, formatrices PRH.

 

Ce que l’on voit, le réel d’aujourd’hui:

Notre humanité est précaire et potentiellement en danger, mais au cœur de ce réel, existe aussi des signes d’espérance qui demandent à être davantage mis en évidence comme des leviers pour un monde où l’Homme et ses ressources est au cœur de la Vie. La crise qui traverse notre humanité est donc une réelle opportunité de changement.

Le temps s’accélère, il y a une urgence de transformation de notre mode de société qui invite à changer de tempo et de mode d’intervention. Les changements de société à venir sont tels qu’ils permettront au meilleur comme au pire d’arriver.

Le monde d’aujourd’hui a besoin de nouveaux récits collectifs, mobilisants et régénérateurs. Et il a aussi besoin de moyens concrets pour construire ensemble cette nouvelle réalité. PRH propose les deux : la vision (le récit) et les outils (les moyens concrets), la foi dans le déploiement de l’homme et la pédagogie de la croissance.

 

 

Ce que l’on vise :

  • L’éclosion de toute cette part d’humanité contenue en chacun.e. Ce qui permettra à une audace nouvelle de déferlée sur le monde pour le plus grand bonheur de millions d’hommes et de femmes.
  • Que chacun puisse agir en référence à ses valeurs profondes, essentielles, et en fidélité à sa conscience profonde, cette boussole intérieure qui est au cœur de tout être humain et qui permet en toute situation de sentir le juste choix à poser quelle que soit les circonstances. « La boussole de l’humanité ».
  • A faire évoluer les habitudes de notre monde… afin de susciter évolution, bond en avant.
  • Que toutes les forces capables d’aider le meilleur à arriver s’engagent dans cette voie.
  • Rendre possible l’essor d’une société nouvelle, d’une humanité renouvelée.

L’action de PRH dans le monde permet d’entrevoir une progressive remise en ordre des personnes, une plus grande liberté et autonomie, des interactions relationnelles et affectives plus ajustées, plus matures, un engagement sociétal plus fécond…

Les conséquences de cette progressive remise en ordre se traduiraient progressivement par des ajustements dans la société à tous les niveaux : de la politique à l’enseignement, de l’organisation du travail à l’aménagement du territoire.

C’est une vision dynamique de percolation progressive, de tâche d’huile, de ronds dans l’eau. C’est un rythme assez lent, dont le tempo est donné par le désir de cheminement d’une minorité de personnes, souvent en lien avec un inconfort.

Ce que l’on entrevoit… notre rêve…

Par nos actions conjointes, l’espérance de ce monde meilleur, qui sommeille au cœur de tout être humain, gagnerait peu à peu, le cœur des hommes et des femmes partout sur la terre …

Alors, ils remettront en cause leurs fonctionnements, leurs habitudes, oseront sortir de leur enfermement, de leurs croyances limitantes, lâcher les compensations jusqu’alors misent en place pour tenir le coup, soulager leur mal être et le fatalisme dans lequel ils étaient enfermés.

Le nombre de personne prenant leur vie en main de manière durable ne cesserait de croître… D’un million aujourd’hui, ils passeraient à un milliard, puis deux … De plus en plus d’homme et de femme, partout sur la planète, entreront dans la conscience de cette nécessité et de cette justesse d’être soi et ce faisant, donner sa part, sa pleine mesure à l’avancée de l’humanité, sera alors possible.

Il deviendra évident que le bonheur, le sien, comme celui des autres, passe par la prise en compte de la spécificité de chacun. Chacun étant ainsi motivé, mobilisé, à oser entrer dans sa spécificité, à pleinement oser être soi. Il deviendra également usuel, de faire l’expérience de combien nos différences, notre diversité est en fait une réelle source de richesse, bien plus qu’une source d’angoisse, de peur… même si demeura encore ce réflexe archaïque, ancestral de la peur de celui qui est différent. Nous apprivoiserons ainsi de plus en plus notre spécificité propre. Combien, celui que je suis, à de la valeur. Une valeur intrinsèque, liée à la part d’humanité spécifique qui sommeille en chacun et au fait que cette part essentielle, est nécessaire et indispensable à l’épanouissement de l’ensemble.

La notion de « grappe », de groupement d’action au service d’une mission, sera reconnue partout et avec elle la notion de complémentarité, d’intelligence collective seront devenus une évidence. Chacun prendra sa juste place, osera sa parole au service du bien commun. Chacun existera plus simplement, plus naturellement à partir de qui il est de fond et agira de plus en plus en fidélité à sa conscience profonde, cette boussole intérieur qui permet de sentir le juste choix à poser. Et cela rendra alors plus fécond le travail ensemble et cela simplifiera les relations à tous niveaux.

Chacun sera de plus en plus au clair avec les différents types de consciences – celle liée au regard de l’autre, celle liée à mes principes, idées et celle liée à qui je suis de fond et au service de l’épanouissement de toute ma personne – qui cohabitent en lui et cela aidera à bien sentir d’où partent nos actes ordinaires et cela permettra, au besoin, de rectifier, en toute simplicité et authenticité, l’orientation prise.

Toute cette approche de l’être humain en croissance sera bien entendu entrée dans le programme officiel de l’enseignement et ce de manière explicite au travers, par exemple des cours de citoyenneté et ce dès la troisième humanité. Bien entendu dans les années qui précèderont, cet enseignement sera déjà diffusé, expérimenté et l’apprentissage se fera par osmose, via l’expérience, l’exemple, le témoignage vivant…

Le regard sur l’enfant sera global, depuis son entrée en maternelle, on visera son épanouissement général, on portera une réelle attention à toutes les dimensions de sa personnes en veillant à garder un regard ouvert, large et profond dans le but de lui permettre de déployer « tout qui il est… ». Que toutes ses potentialités trouvent un chemin d’incarnation libre de toute attente … Chacun aura ainsi la possibilité de se déployer à son propre rythme, de manière organique… et cela va de soi… sans devoir subir le poids de la comparaison, de la compétition… Travailler ensemble, chercher ensemble, avancer ensemble en collaboration et intelligence collective sera éminemment naturel.

La conscience de combien nos différences sont en soi des richesses, permettra de porter, sur soi et sur l’autre, un regard fondamentalement novateur dans l’histoire de l’humanité.

Chaque être humain sera reconnu en soi, pour qui il est, et sa valeur intrinsèque ne fera pas de doute. Cette vision de l’être humain, sera au cœur de tous les services de ressources humaines et les enseignants et lieux de pédagogies en seront tout imprégné.

Le Système Social de Fondation, ou toute la gouvernance est basée sur la spécificité de chacun, ses dons, talents, capacités, compétences réelles, sera devenu le système de gouvernance de référence… La gestion du pouvoir suivra également cette même logique. Ce ne sera plus, le plus riche, le plus puissant, le plus vieux, celui qui a le plus de diplômes qui dirigera, commandera, conduira… Non, ce sera celui en qui ses pairs auront reconnus qu’il est, de fait, fait pour cela, qu’il porte en lui les capacités, les compétences, les ressources pour cela. Et ce pouvoir sera en toutes circonstances triangulé, partagé afin que toutes les grandes décisions, orientations, avancées, soient le fruits d’un dialogue, d’une recherche ensemble, fruit de cette intelligence collective en complémentarité. Le travail en horizontalité sera quant à lui aussi généralisé et mis en œuvre dès que possible, car ce mode de travail « à égalité » suit la même logique de co responsabilité et de complémentarité des dons et compétences.

La notion même de territoire, de propriété, d’appartenance aura elle aussi beaucoup bougé et évolué, non sans quelques réticences et résistances … Mais la terre, la nature, tout le vivant, aura été reconnu comme patrimoine mondial appartenant à l’ensemble, à tous et même plus loin… cette notion d’appartenance se sera inversée … la terre, le vivant ne nous appartiendra plus… c’est nous qui lui appartiendrons, qui en ferons partie, qui reconnaîtrons, que nous n’en sommes en fait qu’une infime parcelle… Cette claire conscience aura mis du temps à se généraliser. Elle se sera très vite imposée comme une évidence dans certains milieu, mais aura mis bien du temps à en gagner d’autres. Peu à peu, cela aura fait évoluer et changer tous nos rapports à la nature, à la culture, à l’élevage, au commerce, aux relations imports exports de tous nos produits de bien et de consommation … Le local, circuit court, sera mis en avant, le respect du vivant sera au centre de toutes nos attentions et préoccupations, nous aurons développé d’autres manières de cultiver et ce grâce à ce changement de relation à la terre, au vivant … Terre qui sera considérée par tous et partout comme un réel être vivant qui nous abrite, nous nourrit, prend soin de nous, pour peu que la réciproque soit vraie et constante. Les changements climatiques n’auront pu être évité, mais le pire aura pu l’être et cette crise climatique, sanitaire, écologique, économique aura été l’occasion de ce bouleversement de paradigme dans lequel notre école, avec ses outils et son approche profondément humaniste aura pu servir de guide et d’accompagnateur pour la mise en place de ces nouveaux modèles.

Homme et femme vivront ainsi, côte à côte, en unité et s’enrichiront de leur réelle diversité. Chacun ayant tout naturellement la possibilité d’être soi, tout soi et rien que soi. La vie sera belle et nous en aurons toutes et tous la claire conscience et le désir profond de la savourer au pas à pas de chaque jour. Le travail ne sera plus une fin en soi, mais une occasion de partager avec d’autre le cœur de soi et de donner sa part afin de contribuer ensemble au bien commun. Il n’y aura plus la possibilité de s’enrichir, d’accumuler les richesses au détriment des autres. Chacun aura ainsi l’espace-temps de donner sa mesure, ni plus, ni moins… il y aura de la place pour chacun et l’éducation sous toutes ses formes, sera enfin devenue une vraie priorité, reconnue et valorisée tant en tant que parent, grand parent, enseignant, éducateur, animateur de mouvement de jeunesse … Tous œuvreront au service de la même cause, le déploiement du potentiel humain de chacun dans le respect de la diversité et dans la recherche d’éveille à la complémentarité…

C’est peu à peu tout le paysage socio-politique et culturel des pays qui aura ainsi évolué. Même les peuples seront alors reconnu en leur singularité en leur couleur propre et en leur spécificité et cela aussi sera enfin perçu comme une richesse, comme une source d’avancée, de complémentarité.

Oui l’humanité avancera dans le même sens, grandira, se déploiera et irriguera la terre d’une vraie fraternité vécue. Bien entendu des défis demeureront, des catastrophes naturelles, des épidémies, des tensions, des conflits et autres défis divers viendront  nous bousculer, comme pour mettre à l’épreuve, confronter notre réelle fraternité … comme pour nous pousser à continuer d’ancrer, d’enraciner plus loin notre foi de fait en la vie.

C’est le défi qui se poursuivra de génération en génération et la tendance demeurera, à chaque nouvelle génération, pour certains, de revenir en arrière, de reprendre ce chemin de la prise du pouvoir, des privilèges … par besoin de sécurité, d’assurance et d’assurer sa descendance … réflexe, ici aussi archaïque, remontant de l’aube de l’humanité … à l’âge où notre espèce était réellement à risque d’extinction.

Ce choix du vivant sera un acte libre, volontaire, sans cesse à renouveler, mais il se fera plus aisément à mesure que les générations qui se succèderont en expérimenteront les biens fondés. Tous les courants spirituels et religieux auront peu à peu intégrés en leur sein cette notion de primauté du vivant et même si demeureront bien entendu des différences de perception, de manière de dire les choses, de les vivres, de les représenter, toutes partageront cette foi profonde en l’humanité et en la nécessité de prendre soin du vivant. Ici aussi une réelle fraternité se vivra et sera nourrie par la diversité des approches.

Génération après génération, notre humanité évoluera ainsi pas à pas vers son plein épanouissement, son essor, sa pleine Humanité !

Vous aussi vous avez envie de collaborer avec nous à la réalisation de ce rêve pour l’humanité ?

Ensemble construisons un monde plus humain !